vendredi 17 août 2012

Les Plumes D'oiseaux


Les plumes, qui ont une conception extrêmement complexe et des caractéristiques aérodynamiques, sont spécifiques aux oiseaux. L’affirmation que les plumes d’oiseaux ont évolué des écailles des reptiles est sans fondement aucun.
Les corps des reptiles sont recouverts d’écailles, tandis que ceux des oiseaux sont recouverts de plumes. Puisque les évolutionnistes considèrent les reptiles comme étant les ancêtres des oiseaux, ils sont obligés d’affirmer que les plumes d’oiseaux ont évolué des écailles des reptiles. Cependant, il n’y a aucune similarité entre les écailles et les plumes.

Un professeur de physiologie et de neurobiologie de l’Université de Connecticut, A.H. Brush, accepte cette réalité, bien qu’il soit un évolutionniste :
Chaque caractéristique depuis la structure et organisation de gène, jusqu’au développement morphologique et l’organisation des tissus est différente (dans les plumes et les écailles). 1
De plus, le Pr. Brush observe la structure de la protéine des plumes d’oiseaux et souligne qu’elle est " unique parmi les vertébrés ". 2
Il n’y a aucune marque de fossile pour prouver que les plumes d’oiseaux ont évolué des écailles des reptiles. Au contraire, " les plumes ont apparu soudainement dans le registre fossile, comme caractère ' indéniablement unique ' distinguant les oiseaux " comme le déclare le Pr. Brush. 3 En plus, chez les reptiles, aucune structure épidermique n’a encore été détectée qui donne une origine aux plumes d’oiseaux.  4
L’histoire du " fossile du dinosaure plumé " découvert en Chine, survenue en 1996 en plein milieu de propagandes médiatiques, était totalement infondée, et il fut admis en 1997 que le fossile du Sinosauroptéryx en question ne possédait aucune structure ressemblant aux plumes. 5
Lorsque nous observons de près la structure des plumes, nous rencontrons une conception très complexe qui ne peut être explique par un processus évolutif. Le célèbre ornithologue Alan Feduccia déclare que " chacune de leurs caractéristiques a des fonctions aérodynamiques. Elles sont extrêmement légères, ont l'habileté de s'élever qui augmente progressivement, et peuvent retourner à leur position précédente très facilement ". Puis il continue en concluant :
Je ne peux vraiment pas comprendre comment un organe parfaitement conçu pour voler puisse au début avoir émergé pour un autre besoin. 6
La conception des plumes obligea aussi Charles Darwin à s’y pencher. Ainsi, la parfaite esthétique des plumes du paon l’a rendu " malade ", selon son propre terme. Dans une lettre qu’il écrivit à Asa Gray le 3 avril 1860, il dit : " Je me rappelle bien du temps où la pensée de l’œil me donnait froid partout, mais j’ai surmonté cette étape du problème… " Puis, il continua : " … maintenant, des détails insignifiants de structure me rendent parfois perplexe. La vue d’une plume sur la queue d’un paon, dès que je la regarde, me rend malade ! " 7
1. A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", Journal of Evolutionary Biology, vol. 9, 1996, p. 132
2. A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", p. 131
3. A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", p. 133
4. A. H. Brush, " On the Origin of Feathers ", p. 131
5. "Plucking the Feathered Dinosaur", Science, vol. 278, 14 novembre 1997, p. 1229
6. Douglas Palmer, "Learning to Fly", (Review of The Origin of and Evolution of Birds by Alan Feduccia, Yale University Press, 1996), New Scientist, vol. 153, 1 mars 1997, p. 44
7. Norman Macbeth, Darwin Retried: An Appeal to Reason, Boston: Gambit, 1971, p. 101

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